Fonctionnement de la boutique

Après une longue série de tests pour essayer d’identifier les causes des ralentissements et erreurs de nos sites, nous avons désactivé le module qui génère les devis depuis la boutique.

Qu’est-ce que ça change ; c’est un peu moins propre qu’avec le module… mais ça fonctionne presque pareil – sauf pour nous mais ce n’est pas important – et la boutique semble plus réactive.

Nous allons maintenant pousser les tests avant de modifier les nombreuses pages nécessaires à la procédure d’achat sur le site – mais la prise de commande est opérationnelle.

 

Edit du 10 mai

Les ralentissements semblant avoir cessés, le module qui génère les devis a été réactivé…

Les limites de « l’intelligence » artificielle…

Comme si les divers bugs, ralentissement et autres ne suffisaient pas, les dernières mises à jour des algorithmes de Google ont apporté leur lot  d’effets pervers : alors que nous avions fait tout ce qui fallait pour faire plaisir au moteur de recherche dans les descriptions des reproductions d’œuvres du domaine public que nous proposons dans la boutique – et que Google semblait ravi de notre travail –, les dernières améliorations des algorithmes font apparaître que certaines informations sont manquantes…

En fait, et pour une raison inconnue, Google a décidé qu’une partie des reproductions d’œuvres que nous proposons était des livres – des grands livres de format 60 × 90 cm et d’une seule page –, des tapis, des vêtements et des accessoires vestimentaires, du matériel de téléphonie, de la quincaillerie… et la liste n’est ni close ni exhaustive. Et les renseignements à fournir pour un vêtement, un livre, un tapis ne sont pas les mêmes que pour la reproduction sur papier d’un tableau, d’un dessin, d’une gravure…

Aujourd’hui, il y a 236 œuvres proposées dans la boutique ce qui fait près de 8000 références qu’il faut vérifier et mettre à jour chez Google une par une – ce serait trop simple si nous pouvions faire les opérations en masse – et sans garantie que les informations complémentaires que nous donnons pour alimenter la machine et que les analyses humaines de nos données produit que nous devons demander soient encore pertinentes lors de la prochaine mise à jour du moteur de recherche.

Le travail de mise à jour est commencé depuis un petit moment et porte ses fruits : il n’y a plus que 15 % des articles qui sont en « erreur » – nous étions à près de 25 % – sans que nous ayons mis à jour autant de descriptifs – comme quoi la machine apprend des informations que l’humain lui fourni.

La mise en ligne de nouveaux produits reprendra dès que le nombre d’articles en erreur sera revenu à un niveau que nous jugerons acceptable.

 

Edit du 7 mai

Il ne faut pas voir que le mauvais coté des mises à jours des algorithmes de Google… Il y a aussi le bon : l’affichage par Google des produits de la boutique a très fortement augmenté depuis la mi-avril (ce qui pourrait expliquer en partie les ralentissements observés sur nos sites)…

 

Edit du 8 mai

Le nombre d’articles en erreur a fondu : nous sommes maintenant à moins de 7,5 %… ce qui ne veut pas dire que Google ait tout rangé dans la bonne catégorie…

 

Edit du 10 mai

Après modification chez Google de plus de 10 % de nos articles, le nombre d’articles en erreur est revenu à un niveau acceptable.

Reste à voir comment cela va évoluer dans le temps : de nombreux articles qui n’étaient pas en erreur changent seuls de catégorie et passent à leur tour en erreur (ou plutôt les algorithmes de Google changent les catégories de nombreux articles qui n’étaient pas en erreur).

Et, cerise sur le gâteau, les ralentissements dont souffraient nos site depuis avril semblent avoir disparus…

 

Edit du 11 mai – 13 h

Le nombre d’articles identifiés en erreur par Google se compte maintenant en dizaines… Mais le nombre d’articles rangés dans une mauvaise catégorie est de près de 500…

L’édition de chaque fiche chez Google prend du temps… et il ne faut pas courir : nous sommes arrivés au point où Google mets moins vite à jour nos articles que nous et nous indique comme erronés des articles qui ont déjà été modifiés.

 

Edit du 11 mai  – 19 h

Tel Sisyphe poussant « sa » pierre au somment d’une montagne, nous corrigeons chez Google les mauvaises identifications automatiques des articles de notre boutique…

Les erreurs signalées par Google sont corrigées… et il ne reste plus qu’a attendre que les vérifications manuelles demandées soient faites…

Mais la pierre de Sisyphe retombe sans cesse…  Et, sans cesse, Google fait remonter de nouveaux articles en erreur… Plus du sixième des articles ont déjà été corrigés, il en reste quelques centaines qui sont mal identifiés mais que Google ne signale pas en erreur… en espérant que Google n’attribue pas d’identification fantaisistes aux articles qui, aujourd’hui, sont bien identifiés.

 

Edit du 14 mai

C’était prévisible : ce n’est pas parce que nous modifions nos articles chez Google que Google ne change pas la catégorie d’articles qui étaient jusque là bien rangés… et que le nombre d’articles en erreur baisse…

Et Google semble avoir à nouveau mis à jour ses algorithmes : le nombre d’affichage quotidien de nos produits a été divisé par 2 depuis vendredi… mais est encore très supérieur à ce qu’il était avant la mi-avril.

 

Edit du 25 mai

Le nombre d’articles en erreur est devenu négligeable… mais nous mettons à jour chez Google plus d’une centaine d’articles par jour et, à ce jour, nous avons modifié plus de 2100 articles.

Ça prend du temps et bloque l’arrivée de nouvelles œuvres dans la boutique.

 

Edit du 2 juin

Chaque jour apporte son lot d’articles mal classés par Google… et, tel Sisyphe avec sa pierre, nous modifions le catégorie des articles mal classé chez Google.

Nous avons trouvé, en vrac, des livres, des vêtements, des lunettes de soleil, des produits de beauté, des timbres poste – de 60 × 90 cm –, des accessoires de téléphonie, des têtes d’imprimante, des œuvres virtuelles, des logiciels, des polices de caractères, du matériel de plomberie ou de couverture, de la peinture… et la liste des trucs improbables s’allonge tous les jours.

Nous avons largement dépassé les 3000 articles modifiés…

 

Edit du 8 juin

A ce jour, plus de 4000 articles ont été modifiés – plus de la moitié des articles de la boutique – et, vu le temps consacré à cette tâche, il est maintenant temps de changer de stratégie afin de dégager le temps nécessaire à l’arrivée de nouveautés.

Nous allons tenter de trier dans les injonctions de Google à mettre à jours nos articles… en espérant que Google ne nous noie pas sous les articles en erreur.

 

Edit du 29 juin

Nouvelle modification d’algorithme chez Google : le nombre d’articles mal classés par Google qui était stable depuis la mi-juin a diminué progressivement depuis vendredi – manifestement, Google met à jours ses algorithmes entre le jeudi et le vendredi, heure française.

Les 12 derniers articles mal classés ont été corrigés ce matin et nous allons continuer la surveillance. A l’arrivée, ce ne sont que 55 % des articles de la boutique que nous avons dû modifier chez Google – 55 % d’un peu moins de 8000, ça commence à faire du monde…

L’arrivée de nouvelles œuvres est en route.

 

Lenteurs, bugs et mise à jour des sites

Depuis le début du mois d’avril, nous sommes confrontés à un gros problème : nos sites – le site principal comme la boutique – sont moins réactifs et affectés de divers bugs d’affichage et de messages d’erreur sans qu’il y ait eu de profonds changements sur ces sites. Ces problèmes affectent principalement les outils de gestion – créations et mise à jour de nouvelles pages et de nouveaux billets de blog et produits – mais pas seulement – Google nous a fait remonter à plusieurs reprises des délais de réponse anormalement lents.

Depuis quelques jours, nous avons vérifié que l’un ou l’autre des divers modules qui font fonctionner les sites n’est pas en cause, fait du ménage – c’est la saison –, mis en place des outils destinés à accélérer les sites et programmé quelques grosses mises à jour… ces opérations et les inévitables tests qui suivront vont s’étaler jusqu’à la fin de la semaine qui vient.

N’hésitez pas à nous contacter si vous rencontrer des difficultés pour accéder à l’information que vous cherchez ou si votre demande en ligne reste sans réponse après quelques heures…

 

Edit du 10 mai

Que c’est-il passé ? Le problème venait-il d’OVH ? Est-ce un ou des modules mis à jour dernièrement ? Ce matin, le site est à nouveau réactif comme il l’était en mars…

Une nouvelle vitrine

Parce qu’avec 200 œuvres, la vitrine de la boutique devenait compliquée à gérer – et ne montrait plus que la moitié des œuvres –, elle a fait peau neuve.

Toutes les œuvres sont visibles, présentées de manière aléatoire, et comme dans la version précédente,  il est possible de voir l’œuvre en grand.

L’ancienne version de la vitrine, avec ses limites, est toujours en ligne et continuera à être mise à jour.

 

C’est pas parce que c’est dans le domaine public…

Lors de la création de la boutique, notre objectif était de faire montrer des œuvres moins connues du patrimoine, d’en assurer la promotion et d’en proposer des reproductions de qualité.

En droit français, domaine public n’est pas synonyme de libre de droits, une notion très « américaine »… La paternité de l’œuvre doit être préservée – le nom de son auteur doit accompagner l’œuvre  – ainsi que son intégrité – la reproduction doit être aussi fidèle que possible.

Il nous semble important, pour les œuvres que nous proposons, d’indiquer, chaque fois que nous la connaissons, son origine, c’est à dire quel musée, quel collectionneur, a mis à notre disposition son image numérique en haute définition.

Parmi les banques d’images que nous utilisons, il y a Artvee… C’est plutôt une bonne banque d’images : les numérisations proposées sont de qualité ; les titres, les auteurs des œuvres et l’année de leur création sont systématiquement indiquées ; il y a une biographie de l’artiste…  mais l’origine des œuvres n’est que trop rarement indiqué – jamais directement et parfois en contradiction avec la licence Creative commons d’origine –, certaines œuvres libres de droits outre-Atlantique ne le sont pas en France – c’est le cas de nombreuses œuvres dont le copyright a expiré ou dont le titulaire des droits en a limité l’usage – et, dans de rares cas, l’intégrité des œuvres n’est pas été respectée – œuvre recadrée ou déformée, chromie non fidèle…

C’est pour ces raisons qu’à plusieurs reprises depuis la création de la boutique, nous avons remplacé, sans le dire, des reproductions issues d’Artvee par des reproductions des mêmes œuvres provenant d’autres sources et que nous privilégierons, à l’avenir, d’autres sources d’images.

Actualisation de nos frais de livraison

La Poste comme les autres prestataires à qui nous confions nos livraisons ont revu leurs tarifs en début d’année. Nous répercutons à notre tour ces augmentations dans nos tarifs de livraison.

Et parce qu’elle est peu demandée et nous impose des contraintes fortes sans apporter un service supplémentaire par rapport aux autres prestataires avec lesquels nous travaillons, nous ne proposons plus les livraisons par Mondial Relay.

Changements, aléas, retards et nouveautés

Nous savions l’année chargée, nous avions donc pris nos dispositions pour que la boutique soit alimentée comme prévu…

Entre les « commandes urgentes pour Noël » – date variable qui va du 6 au 26 décembre –, les aléas improbables qui s’enchainent, la préparation de surprises qui auraient dû arriver cette année mais qui attendront 2023, le rythme d’arrivée de nouvelles œuvres dans la boutique est très inférieur à ce qui était prévu en décembre… Nous espérons rattraper un peu le retard sur la dernière semaine de l’année.

Nous avons procédé à quelques aménagements dans la boutique : en venant du site principal d’Inpixya, le visiteur arrive désormais dans la boutique et plus devant la vitrine ; l’entrée de menu Notre catalogue renvoie maintenant au catalogue à consulter en ligne ou à télécharger – il sera mis à jour prochainement – ; une option Tous les produits a été ajoutée au menu Notre catalogue.

Un peu d’ordre dans la boutique

Lors du lancement de la boutique, nous avons opté pour le classement des œuvres par ordre d’arrivée : les nouveautés sont en premier, les œuvres les plus anciennes en dernier.

Avec 170 œuvres du patrimoine dans la boutique, cette méthode de classement à atteint ses limites…

Après de nombreux essais infructueux, nous avons trouvé une solution : par défaut, les nouveautés resteront en premier mais les œuvres du même auteur – ou du même style – se suivent. Le tri est manuel, il y aura forcément des loupés ou des améliorations à apporter.

Et pour avoir les nouveautés en premier, c’est toujours possible : il suffit de changer l’ordre de tri.

Le catalogue de novembre

Le catalogue de novembre
Le catalogue de la boutique d’Inpixya de novembre 2022

En chantier depuis un petit moment, nous avons enfin un catalogue « montrable ».

Il n’est pas parfait, mais il est consultable en ligne et téléchargeable.

Pour le téléchargeril faut montrer patte blanche…

Nous pensions en faire une édition papier, mais, sous sa forme actuelle, ce n’est pas réaliste.

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